jeudi 30 juillet 2009

Entraves!



A ce boulet que je traîne jour après jour avec moi.
Qui entraves mes mouvements et m’interdit certains endroits.

Je troquerai volontiers, les liens avec lesquels tu retiens mes membres,
Sur l’autel de ces supplices que tu pratiques en chambre.


Je suis valet à jamais ici bas!
Mais une fois, je veux bien être la victime de tes tendres coups bas.


Et quand tu auras bien jouie de cette situation,
Me libèreras-tu peut-être pour me laisser enfin saisir avec considération,
Toutes les parties de ce corps,


...que j’aurais tant désiré!

Fragances !

A défaut de la connaître vraiment, je croyais me rapproche d’elle, en m’appropriant les trois fragances qui la parent le plus souvent. J’ai donc pris d’assaut les rayons du parfumeur le plus proche pour obtenir les précieux échantillons.






Mais comme je le soupçonnais, je n’ai pas imaginé une femme, mais trois :

- La première est jeune, gaie, un brin mutine .Elle se promène sa peau claire dans un champ d’herbes vertes et de muguets, un petit matin au mois de mai.

- La seconde est une femme active, urbaine. Habillée de sa robe d’été, elle se rend à son travail en traversant ce parc dont elle aime fréquenter la roseraie.

- La troisième est une femme mure, sûre d’elle qui ce soir, se rend à une soirée dans un grand restaurant ; robe longue, bijoux sur sa peau ambrée, chaude.



Comme elle l'a dit, c’est seulement sur sa peau que je saurais comment ces parfums l’habille réellement.
Peut être un jour aurais je le plaisir de les redécouvrir sur sa peau, comme on joue aux devinettes!

À elle, peut être, je dirais ma préférence !

mercredi 29 juillet 2009

Perte de contrôle!..

Il y a des jours où vous ne savez pas pourquoi :

Vous ne contrôler plus rien....


Vous ne savez plus quoi faire, face à ce qui vous arrive....


Vous êtes sans assistance et vous sentez terriblement seul ...

Peinture "Voilier dans la tempète" - Michel Le Dret

Mais vous savez qu'il vous faut faire face
Que c'est à vous qu'on demandera des comptes, car...

... Et pourtant cette responsabilité, je ne crois pas l'avoir voulue!

... je ne suis pas pas le seul à la subir!

...Mais, je ne le souhaite à personne!

dimanche 26 juillet 2009

Bain de mer!





L’eau est chaude et pourtant rafraîchissante à comparer avec la fournaise de la plage.
A quelques brasses du sable, seules nos tètes dépassent encore de l’eau. Il y a beaucoup de monde dans l'eau. ..Et nous deux!


Après quelques bains de soleil, ta peau est ambrée. Copieusement enduite de crème solaire, l’eau glisse sur toi. Tu rayonnes de joie et de malice.
« Suis-moi!.. » et tu plonges.
Je te rejoins rapidement. Nous nous retrouvons sous l’eau, isolés du reste du monde, pour un baiser ventouse. Ramené à la surface, te voila naturellement collée à moi : tes bras autour de mon coup, tes jambes autour de ma taille.
Là où nous sommes, tu n’as déjà plus pied. La pointe de tes seins durcie par la fraîcheur de l’eau contre ma poitrine, ton mon venus qui vient cogner sur mon pubis avec les mouvements de l’eau raniment mon ardeur. « Toi tu me cherches! »
Je reprend un peu de ce sel déposé sur tes lèvres et retrouve ta langue pour une immersion buccale.
Mes mains se posent sur tes hanches et pendant que l’une descend sous tes fesses pour te maintenir à ma hauteur, l’autre remonte pour prendre possession de ta poitrine. Ma main accompagne le contour de ton mamelon porté par le flot marin. Elle taquine ce téton en le faisant rouler de doigts en doigts.
« humm, j’ai faim! » Tu reprends ma bouche goulûment et te serre un peu plus fort contre-moi. Ma queue commence à se raidir.
Le haut de ton bikini ne résiste pas longtemps à mon envie de sentir ta peau contre la mienne. Après tout, le fait que tu n’ai plus de haut de maillot ne choquera personne sur cette plage. Tu protestes par principe, fait semblant de reprendre le large. Mais tu reviens rapidement t’amarrer à moi , aidée par le reflux. « …tu vas me le payer! »

Tu prends une grande bouffée d’oxygène et tu t’immerges à mes pieds. Ton dessin est clair : très vite tu t’en prend à mon slip que tu descends jusqu’aux genoux et entame une vigoureuse et délicieuse fellation sous-marine. Ma queue est maintenant gonflée et tendue comme un arc. A ce régime, tu auras raison de moi très rapidement. Heureusement pour moi, le manque d’air de force à interrompre ton labeur et remonter à la surface. Mais, tu gardes ma queue dans ta main pour continuer de me branler. Ta respiration reprise, tu tentes de te précipiter pour achever ton ouvrage « J‘ai très faim! ».
Cette fois, je te retiens.
« Pas si vite ma chérie, trop facile! » Hors de question que tu me fasses jouir comme un poisson qui dissémine sa laitance dans l’eau pour féconder les œufs de sa partenaire. Hors de question que tu échappes à mon ardeur!

Je reprend ta bouche pour y retrouver le parfum de cette queue que tu as copieusement torturée. A son tour, ma main part à l’assaut de ton intimité. Descente le long de ton ventre, je repousse ton pubis pour me frayer un passage praticable. Après avoir écarté ton slip, mes doigts partent à l’assaut de ta vallée fondante, déjà humide d’un jus qui n’a rien de marin. Ton étreinte sur ma queue se desserre enfin. Les yeux dans les yeux, je te regarde sentir cette vague de plaisir qui monte en toi quand mes doigts s’engouffrent dans ton antre et te liment. « ..Salaud! » Tu es ferrée!



Gravure Illustraquarelle

D’un souffle à mon oreille, « ..Vient, prend moi maintenant! ».. Je ne peux rien te refuser.
Ma main quitte ton intimité, va chercher cette queue que tu réclames : mon gland presse à l’entrée du gouffre affamé qui l’appelle. Alors, je force ton bassin à redescendre vers moi pour te pénétrer. Je t’empale lentement mais irrémédiablement jusqu’à la garde. Tes jambes lâches prise et pendent de part et d’autre de ma queue, tu t’abandonnes complètement.
Le soupir qui passe entre tes lèvres entrouvertes en dit long sur la béatitude qui t’envahi. Alors que je te fais coulisser sur mon pieu au rythme des vagues qui nous bercent, la houle de plaisir monte en toi. Je me sens comme un plot d’amarrage auquel vient s’accrocher une frêle esquif à la dérive bercée par les vagues et secouée par un pilonnage sous-marin. Tes mains m’abandonnent quand enfin la vague te submerge. Tu jouies !
Comme, la sirène du paquebot qui salue le port avant son départ vers le grand large par de long mugissement , les salves de jouissance m’emportent à mon tour. La tour à laquelle tu t’étais rivée est également balayée par les flots.

Nous nous retrouvons une dernière fois sous l’eau pour partager un dernier baiser et reprendre une tenue décente.

… « T’as pas vu mon haut! »

mercredi 22 juillet 2009

L'aigle noir!




Simple, ouvert et passionné, tu l’étais.
A nous qui étions déracinés, tu avais ouvert ta porte et ton amitié.
Tu n’étais pas bien riche, mais ta modeste demeure, à défaut d’être correctement chauffée, savais nous réchauffer le cœur.
Tu savais nous écouter, nous faire comprendre la chance que nous avions, nous faire oublier nos peines de cœur.

Toi, il n’y avais qu’un seul être qui faisait réellement vibrer ton cœur. Cette femme fatale et pourtant inaccessible avait envahi ton âme au point que tu en avais adopté le style, la couleur vestimentaire. Quelque part, tu avais fini par lui ressembler.
Tu as traversé la France entière pour te nourrir de sa voix, de ses textes et surtout de ses attitudes. Tu m’as même entraîné avec toi dans cette quête.

C’est vrai qu’il était envoûtant sur scène cet « aigle noir » ! Elle emportait les foules et je me rappellerai toujours de ce concert mémorable à la bourse du travail (7 rappels et plus de 3h de prestation!), Ce n’était plus un spectacle mais une messe, une communion!
Venais ensuite, le temps du souvenir et de l'extase pendant ces longues soirées enfumées.

Mais voilà, nos chemins se sont écartés . J’ai perdu ta trace.
J’ai eu la chance de voir un de ces derniers spectacles avant que l’oiseau de nuit ne finisse par s’envoler définitivement.

Je ne doute pas que tu en as eu le cœur brisé. Mais si tu es encore parmi nous, je ne doute pas que cette passion continue de t’habiter!

Moi, elle me ramène à toi, mon ami!



..A Barbara, ta muse!

mardi 21 juillet 2009

Chères montagnes!..

Ils y sont passés en trombe ce dimanche, ils n’ont rien vu!

Pagnol dans « La gloire de mon père » rendait hommage à ses chères montagnes.

Il me faut à mon tour rendre un hommage à des cimes qui m’ont vu grandir et vivre une enfance des plus heureuses. J’en connaissais tous les sentiers, tous les secrets.
Liberté, aventures, jeux, fêtes mémorables et même … perte d’une certaine innocence!



…Aï, Mayen, autres sommets des Ormonts, je vous salue!
Une deuxième patrie,..
...Celle du coeur!

dimanche 19 juillet 2009

Je rève d'une évidence !

Dès le moment où tu t’approches pour me découvrir, un sourire.
Ton regard étincelant vissé dans mes yeux.




Pas de mots superflus, juste la confirmation de ce qui est déjà une certitude.
Ta main qui rapidement rejoint la mienne.
Non, nous ne nous attablerons pas pour prendre ce verre, alibi de cette rencontre, dans le bar de cet hôtel.


Après une escale à un comptoir pour retirer une clé, direction l’ascenseur,
A peine les portes refermées, ces lèvres brillantes que tu m’offre.
Ton corps est déjà collé au mien.
Ta bouche, nos langues qui se découvrent à l’unisson,
Ces mains qui partent à la découverte des corps,
Le signal sonore, la porte qui s’ouvre pour nous laisser le passage.

Ce couloir qui me parait interminable.
Nos bouches continuent à dévorer, nos mains à découvrir, nos corps à se serrer.
Enfin, la porte de cette chambre qui s’ouvre pour accueillir nos ébats.

Juste une évidence qui prend corps et qui nous entraîne dans ce corps à corps.


Un rève?


...peut-être pas!

samedi 18 juillet 2009

Croisement matinal !..

Sur mon parcours matinal,

Tu apparais marchant dans ma direction...

Belle, grande, élancée,
Mais aussi décontractée, sobre et décidée,
Ta tenue claire met en évidence ta peau d’albâtre.

Mystérieuse avec ces lunettes qui me cachent ton regard,
Sexy, attirante, avec cette jupe courte et tes bottes à talon, tu l’es en diable!

Nous nous croisons sur ce trottoir étroit.
Ton sourire charmeur finit d’emporter mon esprit!..

Mais déjà, tes jambes de gazelle t’éloignent de moi.




Une fois passée, il ne me reste dans ton sillage que la trace de ton parfum…


…Vanille !

jeudi 16 juillet 2009

Au troisième (et dernier) temps de la valse !

Au troisième temps de la valse, il y toi, il y a moi, il y a nous, nus sur le tapis de ce salon.

Je savoure le gout de ta peau douce et lisse, ta bouche encore acidulée de mon nectar, la pointe de tes seins excitée de tes envies.
Tu n’es pas en reste. Tes mains, tantôt lame de rasoir, tantôt pate de velours, n’ont de cesse de se promener sur tout mon corps alternant les moments de douceur et les sursauts déclenchés par tes ongles plantés dans ma peau
Oui, tu as pris l’apéritif et les amuse-gueules, mais tu as hâte de consommer ce plat de résistance qui devait conclure la fin de notre soirée.

« Mon ami, j’ai décidément une fin de loup ce soir. Permettez que je vous baise !.. »

Tu as toujours cette envie de prendre, de dominer. J’ai également une folle envie d’être en toi et déjà, ma queue reprend sa verdeur. Mais, je n’ai pas envie de te laisser le sentiment d’abdiquer complètement.

« Et bien soit, je veux bien être baisé par vous. J’y mets toutefois une condition ce soir : je reste debout ! »

Surprise, tu ne restes pas longtemps désarmée. Le sourire dans tes yeux et sur ta bouche pendant que nous nous relevons. Tu m’entraines par la main à côté du canapé. Tu me fais d’abord face et pendant que tu m’embrasse la bouche, le coup, le torse, ta main habile s’assure de la virilité retrouvée de mon vit. Tu ne manques pas de le prendre dans ta bouche pour bien le lubrifier.
Tu te retourne pour me présenter tes fesses, ta jambe posée sur le canapé pour d’avantage t’ouvrir. Tu recules alors ton con vers moi, non sans t’assurer de ta main, glissée entre tes cuisses, de la direction prise par ma tête chercheuse. Lentement et sans que je n’ai eu à bouger, tu t’empales sur moi jusqu’à la garde. Quelle douce chaleur m’envahi alors !

Tu gémie du plaisir de te trouver maintenant remplie !
La seule flexion de tes jambes suffit à déclencher ce mouvement de piston sur ma queue. Oui, c’est bien toi qui m’a baisée la première.
« Oh, que c’est bon ! Continu ma belle, baise-moi !.. »

Je n’y tiens plus, je te rejoins dans cet exercice en posant mes mains sur tes hanches, c’est moi qui maintenant te pilonne avec vigueur, arrachant à chacun de mes assauts, le gémissement du plaisir qui monte en toi. Ce petit clapot se transforme sous la force des éléments en une houle de plus en plus vigoureuse qui finit de t’emporter dans un orgasme superbe. Ma queue est maintenant engloutie par ton plaisir. Je ne peux plus qu’exploser à mon tour te rejoignant dans ta jouissance.

Nous atterrissons sur le canapé pour partager tendrement notre plaisir.

J’adore danser la valse dans tes bras !

mercredi 15 juillet 2009

Au deuxième temps de la valse

Tu as repris tes esprits et je sais que tu n’as pas renoncé à ton idée première. Pour autant, tu restes dans le cadre des règles que nous nous sommes fixées pour ce jeu.

« Vous ne perdez rien pour attendre…Autorisez-moi à vous faire gicler dans ma bouche »

Jolie garce, La revanche, c’est aussi pas mal à chaud, pas vrai ! Tu vas ma passer à la casserole et après tout, ce n’est pas pour me déplaire. Mais au préalable, je me réserve un doux plaisir.

« ..Je suis prêt à t’accorder cette faveur !
Mais avant cela, relève toi, Il me faut te déshabiller ! »

Oui, je veux bien être sucé, mais par une tigresse dans le plus simple appareil. Et puis j’adore t’effeuiller. Encore, une douce façon d’abuser de ton corps que je côtoie de mes mains. Faire glisser le zip de ta robe, la faire descendre de tes épaules, accompagné le tissu pour lui faire passer la barrière de tes seins, glisser vers le bas de ton ventre, revenir sur le bas de ton dos pour contourner la courbe langoureuse de tes fesses. La voire enfin choir à tes pieds encore cambrés par la courbure de tes talons aiguilles. Faire sauter l’agrafe qui maintient ces bonnets qui habille ta poitrine. Quel plaisir de prendre tes deux lobes tendres et chauds au creux de mes mains, pendant que dans ton dos je pose mes lèvres à la base de ton coup. Ton string ne fera pas longtemps illusion !..

Je note que pendant cet épluchage en règle, tu n’es pas resté en reste. Tu as profité de ma proximité pour me masser généreusement l’entre-jambe. Ma queue est déjà bandée comme un bois dans l’attente des doux sévices que tu as en tête pour elle.

« Maintenant, je t’autorise à me sucer mais tant que je suis debout, tu devras garder les jambes tendues ! »
De cette façon, une grande partie de ton corps reste à la merci de mes mains.

En attendant, tu ne perds pas de temps. J’ai eu à peine le temps de me caller contre le dossier d’un fauteuil, que mon pantalon est tombé sur mes chaussures et mon service 3 pièces à découvert. Et là, tu excelles !


D’abord tes mains, tantôt douces et chaudes, tantôt de véritables lames de rasoir prêtes à me lacérer. Et déjà, le supplice. Tes doigts me parcours de long en large, de mon petit orifice jusqu’à la pointe de mon gland. A l’alternat, l’une en haut, l’autre en bas me laissant l’impression d’une agression coordonnée. les deux ensembles pour me branler avec force.

« Oh oui, c’est bon !.. Mais ne vas pas trop vite, je veux pouvoir t’endurer un moment ! »

Une de tes mains joues à faire rouler mes couilles comme si c’était des billes d’acier. Ma hampe et mon gland s’en trouve collé à la peau tendre de l’intérieur de ton bras. Quel doux repos, après cette première salve. Pas pour longtemps !

Tu as faim, tu as soif, tu le veux ton eskimo chaud. Et tu as fourbi toutes tes armes. Ta langue me parcoure, m’entoure, Tes dents me cisaillent, me râpent, me mordillent. Tes lèvres m’embrassent, m’étranglent, me gobent. Ta bouche m’engloutie jusqu’à la glotte.

« Oh oui, tu suces divinement bien…J’aime quand tu me branles avec ta bouche… »

Et tu y mets tout ton cœur, changement de rythme, attaque combinée mains-bouche,…
Je fais mon possible pour détourner ton attention, mes doigts essayent de trouver quelques points faibles à ton armada : la pointe de tes seins, la base de ton petit trou caché dans ta fente au bout de ce dos que le descend, une claque sur tes fesses,…

Non décidemment rien n’y fait. Je suis vaincu comme je le craignais. J’ai les bourses pleines à ras bord, je n’ai plus qu’une envie …

« Fais-moi jouir dans ta bouche… »
Tu lâches quelques secondes ton emprise pour me répondre
« Avec plaisir… » Et ce plaisir, tu ne le boudes pas !
Je ne suis plus capable que d’émettre des râles de contentement. J’essaye de contrôler les la profondeur et le rythme de tes allers-retours en prenant ta tète dans mes mains. Ta bouche me suce, m’aspire, m’engloutie. J’abdique, je me tends, je te pousse à m’engloutir jusqu’à la garde. Mon foutre remonte ma canalisation principale, j’explose en salve au fond de ta gorge. Je râle ma jouissance, Je rempli ta bouche de ma semence que tu laisses maintenant échapper de tes lèvres. Les spasmes me fond perdre pied.

Tu m’accompagnes dans ma descente. Tu relèves la tête, le regard satisfait, le sourire aux lèvres.
« - Hmmmmmmmmmm comme ce fut bon…divin ! »

Pendant que ta main fini de m’essorer, tu viens à ma bouche partager le gout acidulé du sirop de ma jouissance..


…Champagne !


Sur un scenario original et avec l'autorisation de Noir Intense

mardi 14 juillet 2009

Au premier temps de la valse!

Debout, accoudé au coin bar du séjour, je t’attends sirotant le verre que tu m’as proposé à mon arrivée pour me faire patienter, le temps de se faire une dernière beauté.
Tu reviens le regard de braise vissé sur mes yeux.
Belle dans cette détermination un peu hautaine, ton arrogance transparait des mouvements de ce corps gracieux qui ondule en venant vers moi.
Déposant un bref baisé sur mes lèvres, tes mains posées autour de ma taille descendent rapidement vers ma virilité. Pendant, qu’une d’elle se fait déjà présente autour de ma queue, l’autre s’attaque à la boucle de ma ceinture.
Tes intentions sont claires, mais ce soir, je n’ai pas envie de te laisser conduire cette dance.
« .. Qu’est-ce que tu fais ?»

D’une voix calme et suave, tu me lance :

« Je défais votre ceinturon, parce que j’ai très envie de prendre votre queue dans ma bouche ! »

Non, ce soir ma belle, tu ne m’auras pas aussi facilement. Je décide de jouer à mon tour. Je vais te dresser ma chère..

«T’y ai-je autorisé ? »

Toi qui a tant l’habitude d’être obéis, tu aimes ce jeux où, victime de tes envies, tu te laisses aller à une docilité servile non dénuée d’intérêt. Et ce soir, tu as une terrible envie de m’engloutir

«Non mais je pensais que… »

…Que j’aurais apprécié, sans aucuns doutes ma belle, mais ce soir, on va jouer selon mes règles.

« Je ne te demande pas de penser en ma présence mais de respecter mes règles et ce soir, tu ne feras rien qui n’ait obtenu mon accord préalable. »

Tu es surprise mais tu ne démontes pas. Pour donner un caractère encore plus théâtral à ta soumission, tu t’agenouilles devant moi et tend les mains vers l’objet de ta convoitise.
« Permettez-moi de me servir… »

Trop facile, trop soft, je veux plus.

« Hmmmm allons, allons, tu sais mieux faire que cela ! »

D’abord interdite, tu te reprends et de la voix la plus obséquieuse possible, tu dis :
« Donnez-moi l’autorisation de vous sucer s’il vous plaît… »
J’adore !... Mais, te dire oui maintenant serait trop facile, et donc, même si ma queue a commencé à rougir des intensions les plus perverses que je te prête, Je temporise :
« …Je vais y réfléchir! »

…Pas longtemps, J’ai moi aussi des intentions malhonnêtes à ton endroit. Tu pensais me tenir entre tes dents. Le chassé redevient le chasseur. Je vais te faire subir le premier, ce doux supplice qui tu me destinais.
« Relève-toi !.. »

Tu prends la main que je te tends et te relève. Ton regard interdit m’indique ton incompréhension. Je te regarde, belle à croquer dans cette robe droite, qui moule tes formes et qui s’arrête juste assez haut pour que l’on ait que l’envie de se réchauffer les mains dessous. Tu es sexy en diable. Mon envie de toi va être de plus en plus difficile à masquer. Il faut que je me fasse violence pour ne pas te culbuter dès maintenant.
Il faut que ce jeu continu, dans l’ordre prévu.
« ..Je veux voir si tes envies sont réelles ! »

J’aime sentir la moiteur de ton intimité. J’aime te savoir ouverte, prête à m’accueillir .Mais aujourd’hui, j’ai envie de te voir succomber au travail de mes mains expertes.
Tu l’as d’ailleurs parfaitement compris. Instinctivement, tu as déjà commence à écarter les jambes. Les pointes de tes seins commencent à se dresser sous le voile moulant de ta robe.
« … Montre-moi ce que je veux voir ! »

Tu remontes docilement le bas de ta robe sur tes fesses, dégageant le passage pour ma main inquisitrice. Mes doigts, qui remontent l’intérieur de tes cuisses, savourent la douceur de ta peau avant d’atteindre la base de ton intimité. Le voile de ton string est déjà moite. Je l’écarte pour avoir un libre accès à ta fleur. Tu frémis de plaisir, tu as envie de te laisser envahir, de te concentrer sur le passage de mes doigts à la source de tes plaisirs,

Mais je veux que tu me voies violer ton intimité, que tu vois le plaisir que j’y prends,
« …Regarde-moi !… »
Mon doigt, après s’être promené au sommet de tes lèvres ou commence à perler la rosée de ton plaisir, fraye son passage dans ton canyon intime, déclenchant dans un souffle, ton premier gémissement de satisfaction
« Ooui !… »

Mon doigt poursuit son va-et-vient et glisse de plus en plus facilement au creux de tes lèvres allant jusqu’à repousser le petit capuchon qui recouvre ton petit abricot.
Tu te sens devenue très vulnérable et prête à succomber à mon approche

« Non regarde-moi, je t’interdis de fermer tes yeux ! »

Ton regard commence à se voiler. Je taquine ton intimité m’arrêtant au passage sur l’ouverture de ta caverne. Je veux t’agacer jusqu’au moment ou n’y tenant plus, tu me demande de te pénétrer.
« Tu veux que j’aille plus loin ? »
« S’il vous plait,.. Venez ! »

Alors d’une pression un peu plus ferme, je force l’entrée de ta caverne profonde. J’aime ce moment que je voudrais accompagner de ma langue sur ta fleur. Mais, je veux lire ton plaisir et ta faiblesse au fond de tes yeux ! Je t’arrache un râle de plaisir.
Pendant que mon majeur se rive et se promène sur les parois douces et humides de ton antre, mon pousse s’occupe de ton abricot. La flexion de ma main donne ce mouvement de va et vient qui continu à faire monter l’intensité de ton plaisir.
Je veux te sentir monter en pression. Je veux décider du moment ou n’y tenant plus tu exploseras ta jouissance au creux de ma main.

« Je t’interdis de jouir avant que je ne t’en ai donné l’autorisation ! Tu as compris ?»

« Oh,oui… »

Mon index vient à son tour t’envahir. Il déclenche en toi de nouvelles ondes de plaisirs. Ta résistance fléchie, la vague qui doit venir t’emporter monte en toi. Je commence à sentir le raidissement de tes parois intimes.

« S’il vous plait, autorisez moi à jouir ! »

Je veux te pousser au bout. Je veux que tu résistes pour que la vague qui doit exploser en toi, t’emporte complètement.

« Je vais compter jusqu’à 10, et tu ne jouiras qu’à 10. Tu m’as bien compris ?

Tu résistes en espérant le chiffre fatidique qui doit t’emporter.

« 1,..2, ..3 »

Ta peau est maintenant hérissée des frisons qui t’envahisse, Tes lèvres commencent à trembler, ton souffle s’accélère. Que j’aimerais te libérer en t’empalant sur ma queue. Que j’aimerais sentir ma queue être aspirée au plus profond de toi par la pression de ton plaisir. Non, je vais te finir avec ma main.

« 4,..5,..6,… »

Ta jouissance a peine contenu, tu commences à éjaculer entre mes mains le sirop de ton plaisir. J’aimerais que tu gardes la force d’attendre mon signal.

« 7,..8,..9.. »

Tu y es. Ton regard se trouble. Tu perds pied.

« 10, Jouis maintenant !»

Tu t’abandonnes maintenant complètement. Ma main est maintenant inondé, Le crocher de mes doigts dans ton antre tendue semble être ton dernier point d’ancrage. Tu t’agrippes à moi, secouée des vagues de ton plaisir. Je t’accompagne jusqu’au sol où tu finis de reprendre ton souffle sur mon épaule.
Je te libère et en profite pour porter à ma bouche le nectar tiède qui recouvre mes doigts.

...Exquis !



Sur un scenario original et avec l'autorisation de Noir Intense

samedi 11 juillet 2009

5 sens pour ..!

Te dévorer des yeux pendant que tu me dévoileras tes secrets.

Jouer avec mes mains sur ce corps qui me sera offert, avec mes doigts pour découvrir tes secrets.

M’enivrer des parfums qui s’exhaleront de cette peau bouillante de ses envies.

Entendre tes demandes, le gémissement de tes plaisirs, ton râle quand la vague t'emporte.

Manger ta bouche, la pointe de tes seins, ta fleur ouverte aux sévices de ma langue et boire le sirop de notre jouissance.

...Donne !

mercredi 8 juillet 2009

Une clé!

Vous qui passer par ici,
S’il vous plait.

Voulez-vous trouver une clé !

Pour ouvrir la porte de cette cage qui m'étouffe.

Et enfin me libérer,

Afin que je puisse à mon tour,


...Abuser de vos charmes!

Plaisirs alternatifs...

Camping d’intérieur : nous avons tous passé cette nuit tous allongés côte à côte, de manière spartiate sur des matelas à même le sol.
C’est notre dernier matin avant longtemps.
Tu ouvres tes yeux et me sourie. Tu te rapproches doucement pour te blottir contre moi.
Tu avais résisté à mes avances jusqu’à là (probablement un défi que tu t’étais imposé).
Tes lèvres viennent rejoindre les miennes. Tu craques, tu voudrais t’offrir maintenant mais nous ne sommes pas libres de nos ébats et de nos paroles.

Je m’attaque d’abord aux fermetures éclairs de ces côtes de maille qui nous protège de la fraicheur, mais nous isole l’un de l’autre. Enfin, ma main peut pénétrer la moiteur de ton duvet et rejoindre ta peau.
Remonter ton tee-shirt au dessus de tes seins, balayer ton ventre avec la main, caresser la base de tes seins. Tu frémis, tu souffle. Tu mors un de tes doigts plutôt que d’émettre un gémissement de bonheur. Ma main redescend vers ton genou et remonte sur l’intérieur de ta cuisse vers ta douce intimité, Ta petit culotte de coton est déjà très humide. Ma main appuie fortement sur ton pubis. Tu te cabres. Seul un souffle ne dévoile le plaisir qui t’envahi. Ma main, ton calvaire, se glisse maintenant sous le frêle voile de coton. J’agresse maintenant ton petit bouton, non sans préalable avoir humecté mes doigts. Je goute au passage le parfum de ta fleur maintenant complètement ouverte à mes sévices digitaux. Un, puis deux doigts maintenant te laboure le sexe pendant que mon pousse continue de jouer avec ton appendice.
Une vague de plaisir monte rapidement en toi. Je prends ta bouche pour forcer ton extase au silence. Ton regard se voile. Tu jouies. Ma main est inondée du suc de ta jouissance.

Je te libère de mon emprise.
Alors commence le moment de ta vengeance,.
A ton tour, tu t’attaques à la fermeture de cette cote de maille qui noue isole l’un de l’autre. Tu ne mets pas longtemps à te saisir de ma queue déjà raidie par le plaisir de t’avoir vu jouir. Tu commence un lent mais ferme va et vient le long de ma hampe. Je ne résisterais pas très longtemps à cette tendre agression.
Ta main me branle avec efficacité. Tu approches mon gland au contact de ton ventre. Quelle douce chaleur, ton va et vient est de plus en plus virile. Je sens ma sève monter. Ta bouche sur la mienne s’assure à son tour de mon silence. Mon corps est secoué de spasmes, j’explose sur toi. Tu me proposes au bout de tes doigts une partie de ma sève que tu as étalée sur ta peau comme un masque de beauté.

Les autres dorment encore...
Peut-être!..

samedi 4 juillet 2009

Petit matin calme en été!

Le jour se lève à peine derrière les volets entrebâillés.
Dehors, seul le chant des oiseaux et quelques pas sur le trottoir,
La ville est encore endormie.
Le roucoulement d’un couple de tourterelle.
Je m'éveille doucement, allongé, nu sur le lit.
je savoure les dernières brises fraiches qui se promène sur mon corps ….
Le soleil darde déjà ses rayons à travers les volets, la journée sera chaude!



Sur le lit théâtre d’une bataille langoureuse maintenant apaisée,
Toi en tenue d’Ève allongée à mes côtés.
Tu dors encore. Ton corps lascif est offert à mon regard.

Ouvriras-tu bientôt les yeux pour un regard complice et langoureux ?
Ton corps s’éveillera t il pour se dresser au plaisir ?
Viendras-tu gouter cette envie de sexe qui remonte en moi et me dresse déjà ?

Attendre encore un peu pour savourer ta quiétude du regard,
Jouer à t’éveiller d’un souffle, d’une caresse,
Prendre sans attendre, ce corps ouvert à mes sévices…

Ou, ...


...Me rendormir et espérer que tu me réveilles avec de tendres avances.
Je ne suis pas pressé ce matin !..

jeudi 2 juillet 2009

Suite arithmétique!


Et un,

Et...

-6, 47, 23, 5, 0, 3, ....

Passe-moi le beurre!

A une amie avec laquelle j’ai un problème de calendrier, j’écrivais récemment en guise d'amuse bouche :

« …Tu t’es soumise à ma volonté!
Nue à quatre pattes sur le lit, tu t’exposes à mes sévices. .
Mes mains écartent les lobes de tes fesses pour mieux t’ouvrir et t’exposer à ma langue insidieuse.
De ton petit trou à ton petit bout encapuchonné, je te lèche, je te pénètre, je te mange.
Tu mouilles? Tes soupirs me laissent penser que tu savoures.

Je ne sais pas quel type de lubrifiant tu préfères : moi c’est le beurre (souvenir de jeunesse d’un dernier tango à Paris) !
J’enduis mon index de ce produit naturel et l’expédie visiter ton petit trou pour bien le préparer.
Une fois écartée ta barrière intime, mon doigt s’enfonce sans plus de résistance et lime ton séant. Tu râles d’avantage !

A mon queue tendue de se promener sur la tablette de beurre ramollie.
Je m’agenouille derrière toi et m’approche de tes fesses.
J’ajuste ta hauteur en écartant l’intérieur de tes cuisses avec mes genoux.
Te voilà alignée avec ma queue si raide et lubrifiée.
Mon gland appuie déjà sur l’ouverture de ton petit orifice prêt à se rouvrir à la première pression..
Alors, Veux tu que je te défonce?
Comme seule réponse, tu saisies tes fesses à deux mains et les écartes pour mieux t’offrir…
…Il te faudra attendre notre rencontre ! … »





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Et vous ?